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« L’archiviste face à la problématique de l’archivage électronique » par Coline VIALLE et Jean-Pierre DELTOUR

Découvrez le descriptif de cette communication dans le cadre de la séance ci-dessous:

Les archives numériques : vers de nouvelles méthodologies

Présidence : Édouard VASSEUR

  • Le rêve de l’automatisation? Processus d’archivage et place de l’archiviste, Thomas VAN DE WALLE
  • Comment contextualiser les archives électroniques définitives de l’État ? Méthodologie et nouveaux champs de réflexions archivistiques, Marie LAPERDRIX
  • L’archiviste face à la problématique de l’archivage électronique, Coline VIALLE / Jean-Pierre DELTOUR

Les documents et données électroniques produits par les collectivités sont des archives publiques ; ils relèvent donc du même régime juridique que les documents papier. Toutefois, leurs spécificités (constitués de données et de métadonnées qui doivent être conservées ensemble et ils sont dissociables de leur support d’enregistrement) ont un impact fort sur la pratique du métier d’archiviste. Ce dernier doit donc mettre en œuvre une stratégie active pour conserver ces archives électroniques.
Ce contexte une fois replacé, on peut se demander quels sont les impacts de la gestion des données électroniques sur les pratiques professionnelles de l’archiviste ? Avec quels partenaires doit-il désormais collaborer ?
Tout d’abord, des producteurs d’archives, aux informaticiens responsables des systèmes d’information en passant par des partenaires gérant des problématiques transversales aux services, chacun apporte son expertise et ses besoins pour mettre en œuvre l’archivage électronique.
Puis, des nouveaux outils de références et des nouvelles questions sont à poser pour pouvoir collecter et mettre en œuvre une solution d’archivage électronique. Quels axes d’actions peuvent-être mises en œuvre pour trouver des solutions ? Pour répondre à cette interrogation, plusieurs pistes vous seront proposées telles que :
– la présentation des incontournables à appliquer, lors du recensement des archives électroniques ou lors de l’acquisition d’un logiciel informatique ;
– l’énoncé des normes de références, de réflexions sur les supports et formats des données et des définitions ou préconisations afin de mettre en place les bonnes pratiques, ainsi que des sessions de sensibilisation et de formations.
Enfin, face à la problématique de l’archivage électronique, il est toujours plus enrichissant de se rapprocher des groupes de travail existants autour de soi.

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